Grèves, re-grèves, toujours grèves

Je ne répèterai pas les arguments largements diffusés par la majorité de la population française, je me contenterai de confirmer qu’il y en a marre des grèves du 1 / 52ème de la population active qui paralyse les 51/52ème restant.

Pour ceux qui sont hors contexte, je vous rappelle que la plupart des syndicats des sociétés de transports collectifs en France ont lancé un appel à une grève reconductible (indéfiniment) à partir du 14 novembre 2007. Le motif est le désaccord face à une réforme lancée par le gouvernement visant à ramener le nombre d’années de travail des cheminots à 40 ans au lieu des 37,5 auxquels ils ont eu droit jusqu’à aujourd’hui. Cet avantage avait été mis en place pour compenser la pénibilité de leur travail autrefois.

Si cet argument était valable il y a 50 ans, il est absolument irrecevable aujourd’hui pour les raisons qui suivent.

  1. Le cheminot travaille 35h par semaine et pas une minute de plus (chaque minute supplémentaire sera payée plus chère et exonérée d’impôt)
  2. Conduire un train ou un bus n’est plus un travail de force (conduire un metro ou un bus ne nécessite pas d’effort physique particulier)
  3. Les horaires décalés ainsi que le travail pendant les jours fériés ne sont pas propres aux cheminots, il y a également les policiers, les pompiers, les éboueurs, les femmes de ménage, les gérants de commerces de proximité, les agents d’entretiens nocturnes, les serruriers, les agents de sécurité, les boulangers, les restaurateurs, les concierges, les médecins généralistes, les urgentistes, les hôtesses de l’air, les pilotes de ligne, les baggagistes, les hôtesses d’accueil des aéroports, les militaires, les informaticiens, les avocats, les conducteurs de taxi, les comptables, les traders, les chefs d’entreprises … et enfin les étudiants sérieux ; sachant que cette liste est loin d’être exhaustive.

Pour continuer dans l’absurdité, il faut savoir que certaines grèves des transports en commun en Allemagne se contentent de rendre gratuit l’accès aux services de sorte que la société perde de l’argent. Cette forme de grève aurait épargné les millions d’utilisateurs des transports en communs tout en ayant le même pouvoir de persuasion qu’un grève qui bloque tout. En effet, elle gêlerait les rendtrées d’argents des sociétés en limitant les repercussions sur les usagers qui n’ont rien à voir dans le conflit entre les syndicats et les sociétés. Malheuresement, ce genre de mesures subtil est hors de la portée intellectuelle des leaders syndicaux qui préfèrent provoquer un maximum de nuisance afin d’exprimer leur pouvoir et d’asseoir leur influence.

Alors messieurs les cheminots, et surtout les syndicalistes chevronés , je vous adresse sincèrement toute mon antipathie.

Voici un autre article concernant les grèves en France qui vous en dira plus.

Mes petits ArtWorks !

Thibault_cgt

Mon préféré :

Cfdt

Alex Kidd sur Master System II

Voici Alex Kidd in the Miracle World, l’un de mes meilleurs jeux. Souvenirs, souvenirs lol

Part 1

Part 2

Part 3

Part 4

Part 5

Part 6

Et la fin (jusqu’où je ne suis pas allé)

Lan Party Sevran – le 23 nov 2007!!!

Petite description sur un de mes passe temps préféré !!

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Source : Wikipedia

Étymologie

Le mot LAN party vient de l’anglais, où LAN est l’abréviation de local area network, soit réseau local, et party signifie fête.

Le genre de cet anglicisme n’est pas encore défini dans la langue française. La tendance générale consisterait à dire « un LAN » pour « un réseau » et une « LAN party » ou une « LAN » pour parler d’une fête autour du réseau.

Description

Une LAN party est un rassemblement éphémère au cours duquel un groupe de participants, ayant chacun un ordinateur attribué, joue en réseau local à des jeux vidéo multijoueurs. Ce rassemblement peut durer entre un après-midi et une semaine, mais se déroule généralement du vendredi soir (installation), au dimanche après-midi (remise des récompenses s’il y a).

Les raisons de tels évènements ne sont pas uniquement de pouvoir bénéficier d’un très haut débit pour le jeu. Les participants profitent de ces rassemblements pour rompre la barrière impersonnelle propre aux rencontres sur Internet, et également pour échanger directement des connaissances en informatique.

Sauf dans certains cas particuliers, les joueurs amènent eux-mêmes leur matériel informatique et leurs jeux. Les organisateurs assurent de leur côté la salle, la gestion du réseau et des différents serveurs de jeux.

LAN de différentes tailles

Les très petites lan-party ont lieu le plus souvent chez un particulier, on parle souvent dans ce cas de LAN de garage regroupant une dizaine de joueurs au maximum.

Dès que le nombre de participants devient trop élevé, l’évènement a lieu dans de plus grandes salles (telles que des salles de sports, ou des salles des fêtes communales). En effet, un tel réseau prend assez rapidement beaucoup de place et demande une grande puissance électrique.

Les grandes LAN ont pris une telle envergure qu’il faut souvent distinguer les lan-party dites locales, rassemblant des amateurs du jeu vidéo, et celles professionnelles, qui sont de véritables évènements du sport électronique.

Les jeux pratiqués

Dans le cas de petites lan-party, de nombreux jeux seront testés, commentés, du plus simple Blobby Volley à la dernière sortie vidéo-ludique qui nécessite un ordinateur très récent. Mais les jeux les plus souvent pratiqués dans les lans sont généralement les mêmes que sur Internet, à savoir Counter-Strike, Day_of_Defeat:_Source, Warcraft 3, Pro Evolution Soccer, Quake III Arena, Unreal Tournament 2004, Battelfield 2142, Ennemy Teritory:Quake Wars et beaucoup d’autres jeux.

On distingue en général les jeux simples, type jeux d’arcade, joués en LAN « pour le fun », et les jeux plus importants, avec un côté technique beaucoup plus poussé, mais qui ne comporte malgré tout qu’un petit nombre de facteurs, qu’il est dès lors indispensable de bien maîtriser afin d’avoir un bon niveau de jeu (par exemple, les “strafes” sur le jeu Counter-Strike, qui consistent à se déplacer rapidement à droite et à gauche afin d’éviter un groupement de tirs ; ou bien la technique du “dodge” dans Unreal Tournament, un saut de côté permettant d’éviter les tirs adverses).

Historique

À la fin des années 1980, avant l’apparition de la LAN party, les passionnés d’informatique participaient déjà à des rassemblements internationaux où se tenait des concours de programmation, dans ce qui s’appelle une demo party.

Depuis fin des années 1990, le développement d’une lan-party est bien souvent le même : un groupe de passionnés d’informatique et/ou de jeu vidéo se réunit régulièrement chez un particulier afin de s’affronter sur des jeux vidéo multijoueurs. Puis, petit à petit, l’équipe prend de l’expérience, devient une association organisatrice d’évènements électroniques ou une société et ouvre les portes de ses évènements à d’autres joueurs qu’elle ne connait pas. La lan-party est née.

Aujourd’hui dans le monde

En France

Lan-party pour les amateurs de jeux vidéo

Il y a en moyenne un à deux lan-party d’au moins 100 personnes chaque week-end en France, pour trouver toutes ces lan, il suffit de consulter le calendrier de lan de Actu-Lan. Ces lans peuvent être orientés amusement ou compétition. Les premières ont des tournois peu dotés, et leurs force sont leur ambiance, chaleureuse et conviviale, où l’esprit de compétition est présent mais reste faible, alors que les deuxièmes possèdent des tournois avec du “Cash-Prize” pour attirer les grosses équipes et pimenter la compétition.

Lan-party professionnelle

Organisée par des sociétés et quelques rares associations, ces évènements ont des répercutions à l’échelle nationale et parfois mondiale. On n’y joue plus, on y pratique l’e-sport, ou sport électronique. Les participants n’y sont plus des joueurs, mais des pro-gamers. Les récompenses n’y sont plus des lots, mais des chèques (jusqu’a 120 000 €).

On peut citer par exemple la Lan Arena, qui réunit 1500 joueurs à Paris en 2002 qui permit à la société Ligarena, aujourd’hui Game-Service, de monter une coupe du monde “française”, l’ESWC et qui en 4 ans a su se mettre au niveau des compétitions internationales sud-coréennes et américaines. Il ne faut néanmoins pas oublier que la main-d’œuvre utilisée pour gérer ces compétitions est sélectionnée.

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Aller, Maintenant c’est partie pour BF2 🙂

Soyons parfaits, soyons anorexiques

 Samedi soir, j’ai découvert un nouveau phénomène dont je ne suspectais même pas l’existence : les pro ana.

Description

Il s’agit d’un mouvement, apparement originaire des états unis (cela est-il si étonnant ?) qui consiste à dire que plus on est maigre, plus on est belle. Jusque la, rien de bien nouveau. Ce qui change c’est que cette règle est poussée à sa limite et se transforme alors en “Plus on est anorexique, plus on est parfaite“. En tant qu’adulte responsable, vous commencez alors à percevoir une forme d’extrémisme sectaire émanant de ces – desormais célèbres – blogs “pro ana” (ana pour anorexie).

Nature du mouvement

En faisant des recherche sur mon moteur de recherche favoris je me rendais compte de l’ampleur du mouvement et surtout du côté radical des propos qui sont tenus par ces ferventes bloggeuses (car il s’agit de femmes en grande majorité) :

1. Si tu n’es pas mince, tu n’es pas attirante.
2. Etre mince est plus important qu’être en bonne santé.
3. Tu dois t’acheter des vêtements étroits, couper tes cheveux, prendre des pillules diurétiques, jeûner,… Faire n’importe quoi qui puisse te rendre plus mince.
4. Tu ne mangeras point sans te sentir coupable.
5. Tu ne mangeras point de nourriture calorique sans te punir après coup.
6. Tu compteras les calories et restreindras tes apports.
7. Ce que dit la balance est le plus important.
8. Perdre du poids est bien / en gagner est mauvais.
9. Tu ne peux jamais être trop mince.
10. Etre mince et ne pas manger sont les signes d’une volonté véritable et de succès.

Source : tropdesang dot aceblog dot fr (je ne souhaite pas promouvoir ce blog d’où l’url à reconstruire)

Sans commentaire.

En plus de ce côté excessif, les blogs pro ana ont tendance à personnifier l’anorexie. Les bloggeuses la tutoient, s’excusent auprès d’elle (l’anorexie – qu’elles nomment affectueusement Ana) lorsqu’elles l’ont déçue (comprenez lorsqu’elles ont fait un écart par rapport au régime drastique qu’elles s’affligent). Cela est d’autant plus inquiétant qu’une bonne partie des “pro ana” sont en fait des adolescentes, fragiles d’esprit et influençables.

Petite anecdote qui illustre le danger que représente ce mouvement : une bloggeuse “pro ana” aurait décédé vers la fin du mois de juillet 2007. Elle aurait commencé son régime à plus de 80 kg au mois de juin, et ne pesait plus que 37kg à son décès, même pas deux mois après. Elle se vantait sur son blog de perdre 1kg par jour, elle a décédé d’une crise cardiaque…

Ma Conclusion

Je voudrais dire qu’une femme maigre et anorexique n’est *pas* attirante. De plus, il n’est pas “rentable” de maigrir avant de mourir car les pompes funèbres ne facturent pas au poids 🙂

Manitra.net est “WordPress powered” !

Le jour J est donc arrivé ! Après plusieurs mois de “mort” du blog, je décide enfin d’y mettre un peu de contenu. Cette belle démarche s’illustre avant tout par l’utilisation d’un nouveau système de blog qui est WordPress. Pour ceux qui ne le connaissent, WordPress est une application Web permettant de créer un journal publique (WeB Log) qui sera visible par tout le monde sur Internet. Le but de cet article sera de donner mes premières impréssions sur WordPress.

L’installation

L’installation sur un ordinateur personnel se fait sans encombre. La seule étape que j’ai faite à la main est la création de la base de donnée. Une procédure automatisée permet de faire l’initialisation des tables et du fichier de configuration. Notez qu’il est possible de préfixer les nom des tables. Cette tecnhique permettrait d’installer plusieurs blogs sur la même base données.

Gestions des Catégories, des articles et des liens

Pragmatique

La gestion du contenu reste très simple. Il n’est pas necessaire de passer plusieurs heures à créer d’avances ses catégories. L’idée est d’aller droit au but : créer son article. Dans l’ecran qui permet de créer un article, vous pouvez placer un article sous plusieurs catégories. Lors de cette attribution, vous avez la possibilité de rajouter une nouvelle catégorie en restant sur la même page (Ajax).

Complet

Il y a un nombre impréssionnant d’option pour chaque articles (options de discussion, options de sécuritée, options d’accessibilités …) mais l’interface regroupe ces options de manière intélligent :

  • les options sont regroupée par similarité sémantique
  • chaque groupe d’option sont “retractable” pour qu’ils ne prennent pas trop place
  • vous pouvez réorganiser l’ordre dans lequel sont positionnés ces groupe et cet ordre sera conservé pour les prochaines fois

Il faut également noté que les articles sont enregistrés automatiquement au fur et à mesure que vous les rédigez.

Extensibilité

Le point faible des systèmes “grand public” est habituellement l’extensibilité. WordPress a su se démarquer par la simplicité avec laquelle on peut lui ajouter des thèmes (ensemble de visuels permettant de modifier l’aspet du site) et de plug-in (morceau de programme apportant des fonctionnalités supplémentaires). Cette simplicité a permis la création rapide d’une importante communauté de développeurs et d’artistes qui ont contribué à la création de plusieurs milliers de thèmes et de plug-in.

Ma conclusion

J’ai été agréablement surpris par la qualité de WordPress et le recommande à tous ceux qui souhaitent créer leur propre blog.